Spiruline protection radioactivité nucleaire
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Surexposition aux radiations: les radiations provoquent la perte de l'efficacité du système immunitaire en raison de la perte de cellules T. La spiruline permet d'augmenter leur nombre et est donc employée chez des animaux et personnes victimes de radiations.[réf. nécessaire]
Cancer et radioprotection :
En 1954, un chercheur américain, Denham Harman, a le premier formulé la théorie selon laquelle le vieillissement cellulaire et certains cancers seraient dus à l’action oxydative des radicaux libres. Après avoir été longtemps décriée, cette théorie est maintenant admise par la communauté scientifique, et les médias spécialisés dans la lutte anti-âge et la santé grand-public, marché porteur s’il en est, s’en sont emparés jusqu’à en faire leur principal cheval de bataille.
Les mécanismes du vieillissement cellulaire et de la cancérisation sont de mieux en mieux connus, notamment au coeur de la cellule où les radicaux libres font des ravages, altérant l’ADN nucléaire et les structures internes de la mitochondrie.
L’intérêt des anti-oxydants réside dans l’effet de neutralisation des radicaux libres avant que ceux-ci ne commettent des dégâts irréversibles, c’est-à-dire immédiatement au moment de leur formation au cours du métabolisme cellulaire.
La spiruline est particulièrement riche en anti-oxydants puissants comme le bêta-carotène, la vitamine E, le zinc, le sélénium…
Mais d’autres mécanismes sont impliqués dans le cadre de la lutte anti-cancer et de la radioprotection. La spiruline agit d’abord, nous l’avons vu, en restaurant la moelle osseuse qui est un des premiers organes lésés par les radiations, et en stimulant le système immunitaire (dont les cellules tueuses naturelles, ou NK, destructrices des cellules cancéreuses, sont un élément important).
En outre, les polysaccharides membranaires de la spiruline agiraient en stimulant les complexes enzymatiques, les endonucléases, chargés de restaurer l’ADN (quand celui-ci est altéré par les radiations ou les radicaux libres) et en accélérant l’excrétion des radioisotopes. L’action anti-cancer de la spiruline serait donc pour certains chercheurs tant préventive (élimination des radio-isotopes, effet anti-radicalaire) que curative (restauration de l’ADN, destruction des cellules cancéreuses par les cellules tueuses naturelles).
Surexposition aux radiations: les radiations provoquent la perte de l'efficacité du système immunitaire en raison de la perte de cellules T. La spiruline permet d'augmenter leur nombre et est donc employée chez des animaux et personnes victimes de radiations.[réf. nécessaire]
Cancer et radioprotection :
En 1954, un chercheur américain, Denham Harman, a le premier formulé la théorie selon laquelle le vieillissement cellulaire et certains cancers seraient dus à l’action oxydative des radicaux libres. Après avoir été longtemps décriée, cette théorie est maintenant admise par la communauté scientifique, et les médias spécialisés dans la lutte anti-âge et la santé grand-public, marché porteur s’il en est, s’en sont emparés jusqu’à en faire leur principal cheval de bataille.
Les mécanismes du vieillissement cellulaire et de la cancérisation sont de mieux en mieux connus, notamment au coeur de la cellule où les radicaux libres font des ravages, altérant l’ADN nucléaire et les structures internes de la mitochondrie.
L’intérêt des anti-oxydants réside dans l’effet de neutralisation des radicaux libres avant que ceux-ci ne commettent des dégâts irréversibles, c’est-à-dire immédiatement au moment de leur formation au cours du métabolisme cellulaire.
La spiruline est particulièrement riche en anti-oxydants puissants comme le bêta-carotène, la vitamine E, le zinc, le sélénium…
Mais d’autres mécanismes sont impliqués dans le cadre de la lutte anti-cancer et de la radioprotection. La spiruline agit d’abord, nous l’avons vu, en restaurant la moelle osseuse qui est un des premiers organes lésés par les radiations, et en stimulant le système immunitaire (dont les cellules tueuses naturelles, ou NK, destructrices des cellules cancéreuses, sont un élément important).
En outre, les polysaccharides membranaires de la spiruline agiraient en stimulant les complexes enzymatiques, les endonucléases, chargés de restaurer l’ADN (quand celui-ci est altéré par les radiations ou les radicaux libres) et en accélérant l’excrétion des radioisotopes. L’action anti-cancer de la spiruline serait donc pour certains chercheurs tant préventive (élimination des radio-isotopes, effet anti-radicalaire) que curative (restauration de l’ADN, destruction des cellules cancéreuses par les cellules tueuses naturelles).